Lorsque je veux envoyer des messages courts à tous possesseurs de téléphone mobile, j’utilise le service SMS de mon opérateur téléphonique. Cela m’en coûte mais c’est le prix pour que 99,9% de mes bafouilles parviennent à leur destinataire.
Lorsque je veux envoyer le même type de message à une personne propriétaire d’un smartphone, j’utilise l’application WhatsApp. Le système fonctionne sur les terminaux Nokia, à base d’iOS (iPhone et ses amis), Android et Blackberry. Il ne manque plus que les Windows Phone… Cela ne me coûte rien, ou du moins, rien de plus que ce je paye déjà à mon opérateur chaque mois pour bénéficier d’un forfait de données. C’est déjà mieux. Mais mon correspondant doit aussi avoir choisi la même application. Cela limite le spectre.
Si j’étais un habitant des Etats-Unis ou du Canada, je pourrai déjà frimer avec Facebook Messenger, une messagerie adoptée par Mark Zuckerberg et ses poteaux et lancée en tant qu'application complémentaire du réseau social dominant, qu’on aime donc détester. Ce dernier service vient d’être introduit Outre-Atlantique, il le sera prochainement introduit en France ce qui me fait déduire qu’il sera proposé également en Suisse dans la même foulée. Je m’avance peut-être un peu, mais si je veux bien manger mon… Euh, non, pas mon chapeau finalement. Fruit des emplettes de Facebook (Beluga), cette application Android et iOS a été étroitement intégrée au réseau social. Elle sera disponible dans les magasins d’application d’Apple et de Google.
Pour ceux qui ont des brouettes d’amis sur Facebook, l’application risque de faire des ravages. Elle arrive alors que Google+ n’a pas encore atteint l’embryon d’une taille critique. Cela ne tient bien sûr rien du hasard.
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