Et de quatre pour la simulation de conduite automobile à l'usage des amateurs de moteurs vrombissants, de calandres voluptueuses et de lignes épurées.

L’accessoire donc. Cette année, Forza 4 nous propose de faire bon usage de Kinect, le capteur de mouvements "made in Microsoft". On peut le brancher pour mimer la tenue d’un volant en tendant nos mimines vers l’avant et en imprimant des mouvements de rotations. Cette option sélectionnée, l’interface et les menus sont simplifiées et Forza de se transformer en jeu d’arcade modeste pour parties rapides.
Si, en revanche, on sélectionne l’option classique, soit la conduite avec la manette ou un volant, Forza retrouve toutes ses options et sa richesse. Kinect peut alors se transformer en capteur de mouvements de tête ce qui, en mode de vue dans le cockpit, permet de jeter un coup d’œil furtif dans le rétro. Encore faut-il que le placement de Kinect soit optimal. Après de moults essais et pas mal d’abnégation, je suis en mesure d'annoncer que le système fonctionne à peu près correctement avec un conducteur se tenant bien droit sur une chaise avec la tête dégagée près de l’écran, à un ou deux mètres maximum. Avachi sur un canapé à plus de trois mètres, ce n'est pas terrible. Bref, voici un usage rigolo pour Kinect mais totalement dispensable.
L’autre accessoire qui, lui, m’a séduit est une manette-volant que Microsoft lance en même temps que le jeu (le 14 octobre prochain). Il s’agit d’un volant sans fil, sans axe solide et donc qui reconnait les mouvements dans l’espace.
On pourrait se moquer, comme ça, pour le principe. Mais non, finalement. D'une parfaite précision ce volant se substitue efficacement au joypad. Et, surtout, il nous dispense d’investir dans un siège tout de cuir gainé arrimé à un support pour trois moniteurs posés l’un à côté de l’autre avec le volant à retour de force de la mort qui tue.
Forza est attendu pour le 14 octobre. Mes prochaines courses se dérouleront en ligne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire